Le système hormonal joue un rôle important en musculation. Dans quelle mesure devons nous en tenir compte? Cet aricle...

Les morphotypes en musculation
Publié le: 12/03/2014Peut on classer le corps humain en morphotypes?
Les morphotypes principaux sont :
- Les ectomorphes : Ils sont sub-divisés en 5 sous groupes, de niveau 1 à 5, leurs caratcéristiques physiques sont une musculature peu développée. des os fins, peu de masse grasse. Le métabolisme est rapide, ils doivent donc s'alimenter en conséquence s'ils pratiquent une activitée musculaire. Les ectomorphes ne sont pas fort, leur performances seront limitées par rapport aux autres morphotypes. Ils obtiennent toutefois la plus belle musculature des trois morphotypes.
- Les endomorphes : Les prédispositions physiques des endomorphes sont une tendance à fabriquer du gras facilement. Le métabolisme est lent et les calories vont volontier se loger dans les tissus adipeux, notemment situés autour du ventre et du fessier. Les endomorphes peuvent développer une force conséquente s'ils l'entrainent. La diététique sera l'élément déterminant de l'entrainement pour les personnes rentrant dans cette catégorie physique.
- Les mésomorphes : Ils sont ceux qui obtiennent les physiques les plus puissant. Naturemment musclés, ils peuvent gagner en masse musculaire rapidement et efficacement. Le mésomorphe est également fort, avec des tendons et des os massifs et solides. Ils doivent cependant prêter attention à ne pas développer des déséquilibres physiques et travailler également la souplesse.
Les morphotypes ont fait couler beaucoup d'encre. A l'heure actuelle, deux tendances se distinguent :
- Les personnes qui contestent ces caractéristiques physique.
- Les personnes qui admettent la divison de ces caractéristiques physiques en trois groupes dominants Les ectomorphes, les endomorphes et les mesomorphes.
La premiere catégorie n'accepte pas l'idée d'une classification des individus en sous-groupes et soutient que nous pouvons tous atteindre les sommets des physiques de compétiteurs.
De plus, La catégorisation simpliste en trois tendances, ne permet pas il est vrai, à chacun de s'y retrouver.
Enfin, il y a un déterminisme certain, qui n'encourage pas au dépassement de soi.
Cependant, il faut admettre que les observations de William Sheldon, psychologue dans les années 1940 et observateur du physique humain semblent logique et les nouvelles observations confirment l'existance de personnes avec des caractéristiques différente "naturellement".
Cette notion naturelle peut être définie par la génétique. La prédisposition de certains à fabriquer du muscle plus facilement, ou d'autres au contraire aura beaucoup de mal à prendre du poids du fait d'un métabolisme rapide. La notion d'inné (génétique) et d'acquis (environnement) rentre donc en opposition.
La vérité est surement située entre l'inné et l'acquis, certains facteurs génétiques facilitent ou au contraire rendent difficiles des progressions en musculation. Il est par contre possible de lutter contre ces prédispositions génétiques par l'alimentation, l'activité physique ou plus largement l'environnement qui nous entoure.
Nous pouvons conclure en affirmant que votre bagage génétique ne déterminera en aucun cas complètement votre physique. Certains devront fournir plus d'efforts que d'autres effectivement. Nous ne sommes pas tous égaux physiquement parlant, mais ces différences ne peuvent et ne doivent pas servir de prétextes ou d' excuse pour ne pas atteindre ses objectifs en musculation.